FORMATION EN MICROFINANCE VIA LE E-LEARNING

L’école de la microfinance via le e-learning
DES FORMATIONS DE HAUTE QUALITÉ EN MICROFINANCE
L’école de la microfinance propose 5 formations en ligne aux métiers de la microfinance.
Ces formations sont strictement de la même qualité que celles qui sont réalisées en présentiel.
En 2025 l’école de la microfinance propose les formations suivantes :
MF 303 CONTROLE DE GESTION DES INSTITUTIONS DE MICROFINANCE
MF 401 LA GESTION DES RISQUES EN MICROFINANCE
MF 503 GOUVERNANCE ET STRATEGIES EN MICROFINANCE
MF 505 LE MARKETING EN MICROFINANCE
L’un des avantages majeurs du e-learning c’est sa grande flexibilité :l n’est pas nécessaire de se conformer à des horaires fixes, ni nécessaire de se rendre à un lieu de formation.
Il est possible de se former à tout moment libre sans avoir à quitter son emploi.
Qu’est-ce qu’une formation e-learning à l’école de la microfinance ?
Le e-learning consiste à suivre des cours exclusivement en ligne à distance.
Le stagiaire en ligne reçoit toutes les deux semaines des documents clairs et précis :
- un cours Word rédigé
- un cours PPT qui reprend strictement ce qui est présenté en présentiel
- un quiz qui permet de s’assurer de la bonne compréhension du cours
- un travail à rendre au professeur en illustration du cours.
Le stagiaire reçoit en retour le quiz corrigé avec les explications pour chaque question et un corrigé type du TD.
Tous les 15 jours le stagiaire en ligne à un entretien via WhatsApp avec son professeur pour bien expliquer les points les plus délicats et permettre au stagiaire de poser toutes ses questions.
Le e-learning conçu par l’école de la microfinance permet la transmission de connaissances dans les meilleures conditions tout en permettant aux stagiaires de progresser à leur propre rythme.
Les cours sont divisés en 10 modules, conformément aux programmes et durent au total 5 mois.
Le stagiaire est constamment encadré pendant toute la durée du cours par le service scolarité de l’école de la microfinance auquel il est possible de poser toutes les questions.
Les avantages des formations en ligne à l’école de la microfinance
L’accès aux meilleurs enseignants des métiers de la microfinance
L’école de la microfinance de Nantes a la meilleure des réputations en terme de formations aux métiers de la microfinance.
Elle est obtenu la certification QUALIOPI pour la qualité de ses formations
Un apprentissage qui va beaucoup plus demeurer chez l’apprenant
La formation en présentiel dure très peu de temps et de retour au bureau il y a un risque au retour de la formation de ne plus y penser absorbé par le quotidien.
En ligne, le stagiaire a en permanence les supports pédagogique sous les yeux. Il va consacrer le meilleur de son temps pour bien s’imprégner de sa formation, faire des travaux dirigés, poser ses questions à l’enseignant.
Dans ces conditions le e-learning permet un meilleur taux de rétention de l’apprentissage que les formations en présentiel.
Un immense gain de temps
Une économie financière appréciable
Le coût de la formation se trouve beaucoup mins élevé quand il n’y a pas de frais de déplacement à prévoir, pas hébergement, de frais de visa…
La formation en e-learning nécessite uniquement une connexion internet.
La certification de l’école de la microfinance
Les stagiaires obtiennent le certificat de l’école de la microfinance à partir du moment où ils ont suivi tous les cours et obtenu des notes supérieurs à 10/20 sur l’ensemble de leurs devoirs.
Les différences entre les banques et les établissements de microfinance.
Les banques financent l’économie
Les banques privilégient le financement des activités existantes en octroyant des prêts à moyen/long terme mais aussi en finançant la trésorerie (par exemple avec l’affacturage : la banque « achète » les factures et se charge de les recouvrer ou avec le financent du stock, les crédits greniers, ou encore avec l’acceptation d’un découvert.)
Les banques font aussi des crédits immobiliers, des crédits à la consommation, des avances de trésorerie et des crédits sociaux …
Les établissements de microfinance ont pour finalité de faire des prêts mais aussi de faire de l’accompagnement.
Les clients des établissements de microfinance sont des auto-entrepreneuriat, des TPE mais aussi des femmes du marché, des emprunteurs ruraux ou encore des artisans qui ont besoin de financer des équipements.
Les établissements de microfinance se distinguent des banques spécifiquement du fait :
- de la clientèle, provenant de couches vulnérables, qui recherche le financement d’une activité génératrice de revenus.
- des montants des prêts très peu élevés .
- de la faible durée des prêts quasiment toujours inférieurs à 12 mois.
- de l’absence de véritables garanties, les garanties étant remplacées par la pression sociale et parfois par des prêts collectifs à un groupe solidaire ou chaque emprunteur garantie l’ensemble du prêt.
- par une excellente connaissance de l’emprunteur par l’établissement prêteur qui enquête sur la moralité et les conditions de vie de ses clients.
- par des taux d’intérêts des prêts très élevés.
Pourquoi les taux d’intérêts sont-ils si élevés en microfinance ?
Retrouvez la formation sur les fondamentaux de la microfinance en cliquant sur le lien ci-après :
Le taux d’intérêt nécessaire à l’autosuffisance financière d’une IMF doit couvrir l’ensemble des charges de fonctionnement (salaires du personnel, loyer de l’agence, couts informatiques, amortissements… ainsi que le coût des formations dispensées) et le coût des pertes sur créances douteuses (cout du risque).
Les coûts de fonctionnement des IMF sont souvent largement supérieurs à ceux des banques du fait du suivi personnalisé de leur clientèle, des remboursements des échéances en espèces ou encore de la nécessité de se déplacer pour visiter les clients dans les zones rurales.
Ils comprennent des charges que les banques classiques ignorent comme les frais de formation et le coût des actions d’accompagnement des emprunteurs, mais aussi les charges liées aux remboursements en espèces à périodicité généralement hebdomadaire.
Outre ces éléments, le niveau élevé de taux d’intérêt pratiqués par les IMF résulte aussi :
- Du coût des ressources pour l’IMF pour constituer le fonds de crédit.
- Du faible rapport des intérêts lesquels même à un taux élevé rapportent peu s’ils portent sur un micro capital, contrairement aux prêts des banques quand le capital emprunté est élevé.
- Des coûts de mises en place du prêt qui nécessitent autant de temps d’analyse du dossier et de procédures pour un micro crédit que pour les grosses transactions
- D’un cout du risque très élevé en particulier lors du premier financement par un micro crédit d’une activité génératrice de revenus.
- De transactions dans des monnaies faibles : il ne faut pas comparer des taux de pays à la monnaie faible avec les meilleurs taux pratiqués dans des pays à la monnaie forte.
Les taux d’intérêts sont donc élevés, ils n’en demeurent pas moins inférieurs au taux de l’usure
Les bénéficiaires des prêts ne se plaignent jamais des taux élevés et préfèrent recevoir des formations et conseils plutôt que de payer un peu moins d’intérêts.
On peut rencontrer des variantes, en particulier dans des IMF dépendant de grandes organisations de solidarité internationale.
Ces organisations caritatives soutiennent que les pauvres ne peuvent supporter des taux intérêts au prix du marché et affichent donc des taux d’intérêts faibles, comparables au taux des pays occidentaux.
Par contre, elles ajoutent de fort couteux frais de gestion, frais de dossiers, annexes ou forfaits… Bien entendu ces frais complémentaires n’apparaissent jamais dans les brochures distribuées aux donateurs.
Comment fixer le taux d’intérêt
La recherche de l’autonomie financière de l’IMF implique que le taux des prêts couvre la totalité des charges opérationnelles et le coût du risque. Si l’IMF ne peut obtenir un taux d’intérêt suffisant, il lui faudra prélever sur le fonds de crédit, lequel petit à petit aura vocation à disparaitre.
La viabilité financière de l’IMF dépend de taux d’intérêt suffisamment élevés.
Bien que tous ces chiffres soient variables selon l’IMF, le pays, le montant du crédit, ou la monnaie, on peut faire un exemple théorique (exprimé en taux annuels) :
Charges opérationnelles de salaires, loyers, consommables | 18% |
Cout de la formation des emprunteurs | 4% |
Cout de la ressource emprunté par l’IMF | 5% |
Inflation, perte de valeur par rapport à la monnaie d’emprunt de la ressource | 5% |
Coût du risque de non remboursement des prêts | 7% |
Pour ce cas théorique, Taux effectif minimum annuel à appliquer serait de | 39% |
Chaque IMF doit procéder à son propre calcul en fonction de ses propres paramètres, pour déterminer le taux minimum correspondant à son mode de fonctionnement.
S’y ajoute en général, sauf en cas de gestion optimale de la part de l’IMF, un coût de la sous-activité du capital c’est-à-dire l’absence de rendement quand les montants ne sont pas prêtés entre les remboursements des uns et la mise en place des prêts nouveaux. Cela peut représenter un taux très élevé en particulier pour des ONG ne disposant pas d’outils de gestion rigoureux.
A l’inverse, certaines IMF bénéficient de la quasi-gratuité de la ressource quand elles sont autorisées à collecter et à recycler l’épargne laquelle est rarement (ou faiblement) rémunérée.
De même les IMF qui reçoivent des subventions ou bénéficient de lignes de crédit subventionnées ou/et de dons de l’aide internationale n’ont pas à emprunter d’où un avantage très important. Il faut toutefois être vigilant car on sait que les subventions n’ont pas vocation à être permanentes, et le jour où elles ne sont plus versées, le risque est grand que l’IMF disparaisse.
On peut donc affirmer que ce sont les programmes qui s’autofinancent, donc qui pratiquent la facturation d’intérêts à taux suffisamment élevés, qui sont les plus performants et les plus efficaces.
Formation aux fondamentaux de la microfinance
La formation en banque ou en microfinance: un investissement qui rapporte.
Les choix budgétaires sont réalisés en fonction du retour attendu sur les investissements.
La formation entre dans ce cadre : il y a un investissement pour un besoin donné et on peut mesurer les résultats :
Pour l’école de la banque et de la microfinance, l’analyse de l’efficacité économique de la formation se fait par la mesure du degré de contribution au PNB – Produit Net Bancaire.
Les banques et les établissements de microfinance doivent prendre conscience que la formation de leurs cadres et dirigeants est le nerf de la guerre.
Les meilleures banques et établissements de microfinance se développent dans les activités liées à l’intelligence, aux services, au marketing;
Les immenses mutations en cours pour les banques et les établissements de microfinance nécessitent d’adapter le personnel aux techniques de pointe, de coller à l’innovation, au progrès technique, d’anticiper les évolutions.
Les marchés évoluent aussi : les défis d’aujourd’hui sont de savoir accompagner les entreprises TPE / PME pour soutenir leur croissance, leur apprendre à se transformer en partant directement des besoins du terrain.
Les banques et la mesofinance sont en première ligne pour permettre aux PME de jouer un rôle majeur dans la croissance, en termes d’emplois et de création de richesses.
Professionnaliser les banques et les établissements de microfinance
L’évolution des métiers bancaires a accru le besoin d’expertise : pour les banques et les établissements de microfinance, la formation est un enjeu crucial. Dans une situation de concurrence vive, la fidélisation des clients est vitale et passe par la proximité relationnelle avec les banques et donc par la qualité des conseillers.
La formation permet l’adaptation du personnel des banques à l’innovation technologique et organisationnelle, au développement de services complexes et la vente de produits plus sophistiqués .
L’école de la banque et de la microfinance dispose des outils pédagogiques qui permettent d’individualiser les formations tout en stimulant la motivation et l’implication des collaborateurs.
L’école de la banque et de la microfinance propose au personnel des banques des stages intensifs courts (5à 10 jours) méthodiquement constitués pour professionnaliser les salariés et administrateurs des banques et des microfinances sur tel ou tel métier de la banque.
L’expertise de l’école de la banque et de la microfinance :
- Gouvernance et stratégies de la banque et de la microfinance
- Audit et contrôle en banque et en microfinance
- Analyse financière d’une banque ou d’une microfinance
- Le contrôle de gestion en banque et en microfinance
- L’établissement et le suivi du budget de la banque et de la microfinance
- L’établissement du tableau de bord de la banque ou de la microfinance
- Le marketing en banque et en microfinance
- L’établissement de la cartographe des risques en banque et en microfinance
- Le risque de crédit
- Chargé de clientèle particuliers
- Chargé de clientèle entreprises
- Comptabilité bancaire.
- La gestion des ressources humaines en banque et en microfinance
L’école de la banque et de la microfinance est un organisme de formation continue pour les professionnels du secteur de la finance.
L’école de la banque et de la microfinance est un acteur majeur de la formation au service de l’entrepreneuriat et du développement économique et social.
« L’école de la microfinance a pour objectif de former les professionnels de la banque et de la microfinance :
- Les dirigeants – gouvernance, stratégies, marketing, réglementation, savoir faire et savoir être.
- Les élus en particulier dans les établissements de microfinance de type mutualiste
- Les employés salariés (les commerciaux, les agents de crédit, les responsables des risques, les contrôleurs de gestion, les responsables de ressources humaines, les comptables de la banque et de la microfinance, les contrôleurs et auditeurs internes, …)
- Les formateurs à travers nos stages formation de formateurs en éducation financière.
- Les inspecteurs des banques centrales en charge de missions de contrôles dans les microfinances ainsi que les agents du ministère des finances en charge du secteur).
Ce qui distingue « l’école de la banque et de la microfinance » des autres organismes de formation en microfinance ?
L’école de la microfinance présente un caractère unique au sein des organismes de formation en banque et en microfinance par le fait qu’elle a été créée par et pour des professionnels de la banque et de la microfinance.
L’école de la banque et de la microfinance dispense ses formations en présentiel ou distanciel dans tous les pays du monde
Les formations proposées par l’école de la microfinance se présentent sous la forme de modules intensifs et courts. Les formateurs sont des professionnels de la microfinance ayant une grande expérience de terrain associée à une solide base économique et financière. Ils mettent en commun leurs compétences pour aider à la création d’un secteur de la microfinance plus fiable pour la clientèle et plus pérenne pour les institutions.
Certaines formations en microfinance peuvent être suivies en e-learning afin de réduire les coûts de la formation.
L’école de la microfinance a obtenu la certification qualité Qualiopi pour la qualité de ses prestations.
Retrouvez toutes nos formations en banque ou en microfinance en suivant le lien ci-après :
formations en banque ou en microfinance