Formation contrôle de gestion bancaire

Banque : le contrôle de gestion et la stratégie bancaire

Le contrôle de gestion en banque

L’école de la microfinance propose une formation au contrôle de gestion bancaire destinée aux contrôleurs de gestion récents dans la fonction ainsi qu’aux dirigeants, cadres de banques, informaticiens et comptables, en relation avec le contrôle de gestion dans les établissements bancaires.

En quoi consiste le contrôle de gestion en banque ?

1 L’analyse de la performance globale de la banque

L’analyse du compte de résultat à travers les évolutions des soldes intermédiaires de gestion : évolution du PNI ‘produit net d’Intérêts) du PNB (Produit Net Bancaire) des frais de fonctionnement, du cout du risque, le RBE (Résultat brut d’Exploitation)

 

La présentation d’une analyse financière mettant en évidence les évolutions de l’exploitation, les forces et les difficultés de la banque à travers les calculs des ratios de rentabilité, le calcul du coefficient d’exploitation, le rendement des actifs ou ROA (Return On Assets), le rendement des fonds investis ou ROE (Return On Equity), le calcul des taux de production des crédits, des taux moyens d rémunération d l’épargne.

2 Le suivi de la performance commerciale des agences

Il est fondamental de savoir calculer ls résultats de chaque agence de la banque. Chacun a en effet un mode de fonctionnement spécifique, certaines agences collectent plus de ressources qu’elles ne font d crédit. Pour d’autres c’est l’inverse aussi le contrôle de gestion doit mettre en place un système où le siège devient la banque des agences lesquelles empruntent ou reversent des intérêts sur le compte au siège.  Le taux d’intérêts utilisé pour ces échanges est le TCI (taux de cession interne)

3 L’élaboration des budgets, des plans d’actions  

Dans une banque, le contrôleur de gestion a la charge d’élaborer les budgets et de chiffrer les plans d’actions. Des agences et des services du siège. L’élaboration des budgets et la définition des plans d’actions

4 Le tableau de bord

Le contrôleur de gestion est chargé de l’élaboration du tableau de bord de la banque et de la mise à jour de l’ensemble des indicateurs de la banque.

Ces informations seront précieuses pour les dirigeants de la banque pour permettre des prises de décision.

 

Objectifs : Situer le rôle, les missions et l’organisation du contrôle de gestion dans une banque.

Être en mesure de fournir à la direction générale les informations nécessaires au pilotage stratégique et opérationnel de l’établissement.

Mesurer la performance bancaire, préparer les outils nécessaires au pilotage opérationnel, à la prévision, à la programmation des actions.

Connaitre les procédures permettant la préparation du budget sur la base des principaux objectifs fixés par la direction, de  la conduite de la stratégie de la banque.

Maitriser l’élaboration d’un tableau de bord pertinent.

 

 

Programme : 1 Les missions et l’organisation du contrôle de gestion bancaire

2 La mesure de la rentabilité

3 Le processus d’élaboration budgétaire

4 Les résultats de l’agence, le budget de l’agence

5 La comptabilité analytique, la mesure des coûts des services et produits bancaires

6 Le suivi statistiques des encours

7 Le tableau de bord de gestion et les indicateurs

8 La cartographie des risques

9 La performance (SIG et grille d’analyse 2 pages)

10 L’utilisation des ratios pour l’analyse financière

 

 

Méthodes et outils Exposés, cours et exercices. Échanges.

Nombreuses études de cas pratiques de banques

Travaux en sous-groupes. Mises en situation.

Remise d’un support de cours complet et documenté.

 

Durée de la formation en centre : La formation en présentiel au contrôle de gestion bancaire se fait sur 5 jours soit 35 heures

 

Prérequis : La promotion interne, après quelques années d’expérience, est la voie d’accès la plus courante pour accéder au poste de contrôleur de gestion en banque.

Pour suivre le stage il est recommandé d’avoir de bonnes connaissances en comptabilité générale, en statistiques et de connaitre la finance.

 

Prestations annexes : L’école de la microfinance offre la possibilité de formation par e-learning :

L’enseignement de l’école de la microfinance s’appuie sur un cours à distance autosuffisant qui couvre l’ensemble du programme de l’unité d’enseignement.

 

L’école de la microfinance a obtenu la certification qualité Qualiopi pour la qualité de ses prestations.

L'école de la microfinance est certifiée QUALIOPI

LE  CONTRÔLE INTERNE EN BANQUE

 Une formation pour les contrôleurs internes des banques.

 

Le contrôle interne est une clé de la performance d’un établissement bancaire.

La Direction Générale a la responsabilité finale de la qualité du service et de l’image de marque de l’établissement. Elle a besoin d’un bon fonctionnement du contrôle interne pour atteindre ses objectifs.

Il n’est pas simple de devenir contrôleur interne d’une banque : Il faut des compétences humaines  , être autonome,  avoir un sens de l’écoute, savoir poser les bonnes questions – avec  tact, mais aussi disposer de compétences techniques : avoir de la curiosité intellectuelle, bien comprendre ce qui se passe, connaître les risques liés aux opérations, être capable de rédiger un rapport documenté dans  le respect des principes d’éthique et de confidentialité.

A travers des quizz, des cas pratiques et des exposés power-point, l’école de la microfinance vous permet d’acquérir les qualités nécessaires pour être un contrôleur interne efficace.

 

L’école de la microfinance organise des sessions de formation permettant de répondre aux obligations réglementaires en matière de contrôle interne.

L’objectif de nos formations en réalisant des missions de contrôle appropriées est d’améliorer  la sécurité financière de la Banque, de  lutter contre les fraudes internes, les malveillances, mais aussi de combattre le blanchiment, le financement du terrorisme.

Lien vers la formation « le contrôle interne en banque »

Le contrôle interne en banque

 

 

Les objectifs du contrôle interne :

 

Le système de contrôle interne comprend des dispositions pour assurer :

− la vérification des opérations et des procédures internes, la mesure, la maîtrise et la surveillance des risques

− la fiabilité des conditions de collecte, de traitement, de diffusion et de conservation des données comptables et financières ;

− l’efficacité des canaux de circulation interne de la documentation et de l’information

 

 

Il existe deux grands types de contrôles : orientés vers la prévention ou orientés vers la détection 

Contrôles orientés vers la prévention :

  1. Conformité des ouvertures de comptes
  2. Limitation des accès
  3. Organisation du suivi des mouvements (exemple : la mise en place d’un crédit).
  4.  Séparation des fonctions
  5.  Établissement périodique de fiches de justification de compte

Contrôles orientés vers la détection :

  1.  Blanchiment d’argent
  2. Contrôles contradictoires des espèces en caisses
  3. Interrogations et recoupements d’informations

Au niveau des métiers du contrôle interne , on distingue 3 grandes catégories : Les métiers liés à la conformité, les métiers liés au contrôle des risques, les métiers d’auditeur ou d’inspecteur.

 

Les établissements de crédit doivent se doter d’un système de contrôle interne efficace adapté à leur organisation, à la nature et au volume de leurs activités ainsi qu’aux risques auxquels ils sont exposés.

 Ces obligations découlent des actions de Bâle. Elles ont été transcrites dans les textes réglementaires édictés par les banques centrales.

 

Les établissements de crédit et les holdings financières doivent se doter d’un système de contrôle interne comportant un système de contrôle des opérations et des risques, des manuels de procédures internes, une organisation comptable, un système de traitement de l’information, un système de mesure des risques et des résultats, des systèmes de surveillance et de maîtrise des risques ainsi qu’un système de reporting.

Les risques opérationnels, sont définis par le comité de Bâle comme les risques de pertes « résultant d’une inadéquation ou d’une défaillance attribuable aux procédures, au facteur humain et aux systèmes ou à des causes externes » ;

 

 

 

La structure pyramidale du contrôle interne en banque :

 

L’autocontrôle du titulaire du poste :

Le premier contrôle est l’autocontrôle du titulaire du poste : le salarié vérifie qu’il a bien fait son travail.

 

Le contrôle de premier niveau  effectué par les opérationnels

Le hiérarchique est responsable du travail de ses subordonnés. (Exemple le chef de caisse) Cela fait partie intégrante de la responsabilité du hiérarchique de s’assurer de la qualité du travail de son subordonné. Le premier échelon du contrôle interne est assuré par le personnel opérationnel, par l’encadrement des équipes et par les responsables hiérarchiques ;

 

Le contrôle de second niveau (effectué par les services de contrôle interne ou un service non impliqué dans l’activité opérationnelle)

Le contrôle de second niveau est un dispositif de la banque , défini et mis en œuvre sous la responsabilité de la direction générale, qui contribue à la prévention des risques

Il est effectué par un contrôleur interne indépendant du hiérarchique.

 

Le contrôle de troisième niveau (effectué par l’audit interne).

Le contrôle périodique ou Audit interne est effectué, sous la responsabilité de l’organe délibérant et du comité d’Audit, par un personnel indépendant intervenant sur pièces ou sur place dans le cadre d’audits ponctuels. Le service d’audit interne a la responsabilité d’évaluer le fonctionnement du dispositif de contrôle interne et de faire toutes préconisations pour l’améliorer, dans le champ couvert par ses missions.

Il sensibilise et forme habituellement l’encadrement au contrôle interne mais n’est pas directement impliqué dans la mise en place et la mise en œuvre quotidienne du dispositif.

Le responsable de l’audit interne rend compte à la Direction Générale et, selon des modalités déterminées par chaque société, aux organes sociaux, des principaux résultats de la surveillance exercée.

Les banques et les établissements de microfinance doivent instituer une fonction audit interne chargée de la supervision des dispositifs de prévention et de contrôle des risques, de vérifier l’efficacité et la cohérence du contrôle interne, d’en détecter les faiblesses afin de proposer les mesures de redressement.

Cette fonction doit être indépendante, avoir une compétence exhaustive, être dotée des moyens nécessaires, avoir des objectifs clairs et être permanente.

 

La formation en banque ou en microfinance:         un investissement qui rapporte.

Les choix budgétaires sont réalisés en fonction du retour attendu sur les investissements.

La formation entre dans ce cadre : il y a un investissement pour un besoin donné et on peut mesurer les résultats :

Pour l’école de la banque et de la microfinance, l’analyse de l’efficacité économique de la formation se fait par la mesure du degré de contribution au PNB – Produit Net Bancaire.

 

Les banques et les établissements de microfinance doivent prendre conscience que la formation de leurs cadres et dirigeants est le nerf de la guerre.

Les meilleures banques et établissements de microfinance se développent dans les activités liées à l’intelligence, aux services, au marketing;

Les immenses mutations en cours pour les banques et les établissements de microfinance nécessitent d’adapter le personnel aux techniques de pointe, de coller à l’innovation, au progrès technique, d’anticiper les évolutions.

Les marchés évoluent aussi : les défis d’aujourd’hui sont de savoir accompagner les entreprises TPE / PME pour soutenir leur croissance, leur apprendre   à se transformer en partant directement des besoins du terrain.

Les banques et la mesofinance sont en première ligne pour permettre aux PME de jouer un rôle majeur dans la croissance,  en termes d’emplois et de création de richesses.

Professionnaliser les banques et les établissements de microfinance

L’évolution des métiers bancaires a accru le besoin d’expertise : pour les banques et les établissements de microfinance, la formation est un enjeu crucial. Dans une situation de concurrence vive, la fidélisation des clients est vitale et passe par la proximité relationnelle avec les banques et donc par la qualité des conseillers.

La formation permet l’adaptation du personnel des banques à l’innovation technologique et organisationnelle, au développement de  services complexes et la vente de produits plus sophistiqués .

L’école de la banque et de la microfinance dispose des outils pédagogiques qui permettent d’individualiser les formations tout en stimulant la motivation et l’implication des collaborateurs.

L’école de la banque et de la microfinance propose au personnel des banques des stages intensifs courts (5à 10 jours)  méthodiquement constitués pour professionnaliser les salariés et administrateurs  des banques et des microfinances sur tel ou tel métier de la banque.

L’expertise de l’école de la banque et de la microfinance :

  • Gouvernance et stratégies de la banque et de la microfinance
  • Audit et contrôle en banque et en microfinance
  • Analyse financière d’une banque ou d’une microfinance
  • Le contrôle de gestion en banque et en microfinance
  • L’établissement et le suivi du budget de la banque et de la microfinance
  • L’établissement du tableau de bord de la banque ou de la microfinance
  • Le marketing en banque et en microfinance
  • L’établissement de la cartographe des risques en banque et en microfinance
  • Le risque de crédit
  • Chargé de clientèle particuliers
  • Chargé de clientèle entreprises
  • Comptabilité bancaire.
  • La gestion des ressources humaines en banque et en microfinance

L’école de la banque et de la microfinance est un organisme de formation continue pour les professionnels du secteur de la finance.

L’école de la banque et de la microfinance est un acteur majeur de la formation au service de l’entrepreneuriat et du développement économique et social.

« L’école de la microfinance a pour objectif de former les professionnels de la banque et de la microfinance :

  • Les dirigeants – gouvernance, stratégies, marketing, réglementation, savoir faire et savoir être.
  • Les élus en particulier dans les établissements de microfinance  de type mutualiste
  • Les employés salariés (les commerciaux, les agents de crédit, les responsables des risques, les contrôleurs de gestion, les responsables de ressources humaines, les comptables de la banque et de la microfinance, les contrôleurs et auditeurs internes, …)
  • Les formateurs à travers nos stages formation de formateurs en éducation financière.
  • Les inspecteurs des banques centrales en charge de missions de contrôles dans les microfinances ainsi que les agents du ministère des finances en charge du secteur).

 

 Ce qui distingue « l’école de la banque et de la microfinance » des autres organismes de formation en microfinance ?

L’école de la microfinance présente un caractère unique au sein des organismes de formation en banque et en microfinance par le fait qu’elle a été créée par et pour des professionnels de la banque et de la microfinance.

L’école de la banque et de la microfinance dispense ses formations en présentiel ou distanciel dans tous les pays du monde

Les formations proposées par l’école de la microfinance se présentent sous la forme de modules intensifs et courts. Les formateurs sont des professionnels de la microfinance ayant une grande expérience de terrain associée à une solide base économique et financière. Ils  mettent en commun leurs compétences pour aider à la création d’un secteur de la microfinance plus fiable pour la clientèle et plus pérenne pour les institutions.

Certaines formations en microfinance peuvent être suivies en e-learning afin de réduire les coûts de la formation.

L’école de la microfinance a obtenu la certification qualité Qualiopi pour la qualité de ses prestations.

 

 

Retrouvez toutes nos formations en banque ou en microfinance en suivant le lien ci-après :

formations en banque ou en microfinance

 


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