GESTION DES RISQUES EN BANQUE
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GESTION DES RISQUES EN BANQUE
Les risques sont très nombreux dans l’activité bancaire
Parmi les risques financiers on trouve :
- Le risque de crédit
- Les risques liés au recouvrement des créances
- Le risque de liquidité
- Le risque de variation des taux d’intérêts
- Le risque de change
Parmi les risques liés à l’activité on trouve :
- les risques stratégiques
- Les risques liés à la concurrence
- Les risques d’instabilité politique
Parmi les risques opérationnels on trouve 7 catégories :
- Fraude interne.
- Fraude externe.
- Pratiques d’emploi et de sécurité au travail.
- Pratiques liées aux clients, aux produits et aux activités commerciales.
- Dommage aux actifs physiques, cyberattaques, actes malveillants, sabotage…
- Arrêt d’activité et échec des systèmes
Parmi les risques juridiques, réglementaires et de conformité on trouve :
- Les risques juridiques
- Les risques réglementaires
- Les risques de conformité
Tous ces risques doivent être parfaitement identifiés et décrits afin de pouvoir se protéger totalement ou partiellement
Pour chaque risque identifié, l’établissement bancaire doit tenter de se protéger voire d’annuler totalement le risque. Par exemple pour annuler le risque de change, il faut parvenir à emprunter en monnaie nationale puisque les revenus seront en monnaie nationale. Certains risques peuvent aussi être transférés à des tiers par exemple à un assureur.
Objectifs pédagogiques de la formation aux risques en banque
A l’issue de la formation, le stagiaire sera capable de :
- d’identifier clairement les risques liés à l’activité bancaire afin de mieux les maitriser.
- d’avoir une vision d’ensemble des risques, comment classer les risques, comment les mesurer à travers le coût du risque et aussi comment se couvrir dans le cadre d’un processus de gestion des risques.
- réaliser une cartographie des risques auxquels la banque est exposée
Contenu de la formation
- Identifier les principaux risques des banques,
- Établir la cartographie des risques.
(Risque de crédit, risque informatique, les risques opérationnels, risque de marché, risque patrimonial, risque de liquidité,, risque de taux d’intérêt, risque de change…) - Acquérir une vue globale du processus de gestion de ces risques en banque.
- Savoir évaluer le poids relatif de chaque risque.
- Comprendre le mécanisme de la couverture du risque.
- Savoir calculer le coût du risque
- Le système de contrôle interne
- Développer une culture risque au centre de la stratégie de la banque
Publics concernés
Responsables des risques,
Responsables des risques opérationnels
responsable de l’audit interne
Contrôleurs périodiques
Contrôleurs permanents
Moyens pédagogiques
Une formation dynamique avec des exposés, des cours et des exercices Pour transmettre les messages clefs, acquérir les connaissances ou réaliser une synthèse.
Exposés, cours et exercices, quiz. Échanges. Exposés. Travaux en sous-groupes. Mises en situation.
Remise d’un support de cours complet et documenté.
Prérequis
Pour suivre le stage il est nécessaire recommandé d’avoir de bonnes connaissances en comptabilité générale, et de bonnes notions bancaires et financières
Durée de la formation
- 5 journées de formation soit 35 heures en présentiel
ACCÉDER A LA LISTE DE NOS FORMATIONS EN BANQUE EN SUIVANT LE LIEN CI-APRÈS :
Formation à la gestion des risques bancaires
Contact et inscription
Contact et inscription
ecole.de.la.microfinance@gmail.com
Formation à la gestion des risques en Microfinance
L’école de la microfinance propose une formation à la gestion des risques (en présentiel à NANTES ou par e-learning)
La banque est le métier du risque – risque de contrepartie, risque de crédit lorsqu’elle accorde un prêt, risque de contrepartie lorsqu’elle place sa trésorerie sur les marchés financiers, risque de change, risque de taux, risque de non-conformité…
Toute la question est de savoir mesurer le risque et ensuit d’essayer de réduire ce risque.
Il faut commencer par établir une cartographie des risques puis rechercher la probabilité de chaque risque et son impact maximum.
L’octroi d’un crédit nécessite une analyse du risque de non remboursement et une évaluation rigoureuse de la qualité des garanties prises.
Quand les crédits sont accordés, la banque doit procéder périodiquement à une évaluation du risque de crédit des entreprises et des particuliers pour anticiper les risques de dégradation de la situation financière de leurs clients.
Les risques de crédit
Quand un établissement de microfinance prête une somme de 100 000 francs, il prend le risque de perdre 100 000 francs du fait du non-remboursement.
Ce n’est évidemment pas la vocation d’un établissement de microfinance de perdre de l’argent aussi les microfinances ont développé une expertise pour sélectionner les clients qui paraissent accepter que tout crédit engage à honorer les échéances de remboursement.
L’impayé :
On parle d’impayé quand le client n’a pas remboursé son échéance de crédit au jour prévu par l’échéancier. Dès le lendemain de l’échéance si elle n’a pas été honorée, il y a un impayé.
Le portefeuille à risque
Le portefeuille de l’agent de crédit est divisé en deux parties : le portefeuille sain (tous les clients remboursent à l’échéance et il n’y a pas d’impayés) et le Portefeuille à risque. Dès qu’un crédit n’est pas remboursé, le montant total du crédit restant dû est classé dans le Portefeuille A Risque (PAR).
Bien évidemment quand il y a des impayés dans le portefeuille d’un agent de crédit ce dernier à mission de téléphoner au client défaillant ou à se déplacer à son domicile pour récupérer le montant de l’échéance impayée.
Selon ancienneté des impayés on parle de portefeuille à risque 30 jours (PAR30) de portefeuille à risque 90 jours (PAR90) ou encore de portefeuille à risque 180 jours (PAR90).
Le coût du risque
Quand un client d’une microfinance ne rembourse pas les échéances de son prêt, l’établissement préteur va provisionner, c’est à dire anticiper le fait que le client ne remboursera peut être jamais ou peut-être seulement une partie de son crédit.
Pour ces créances incertaines, douteuses ou litigieuses, les microfinances doivent constituer des provisions en fonction de la classe de risque desdites créances.
Classe de risque | Antériorité des impayés | Exemple de Niveau minimal de provisionnement (Tunisie) |
Classe 1 | 1 jour sans excéder 30 jours |
10% |
Classe 2 | 31 jours sans excéder 60 jours |
25% |
Classe 3 | 61 jours sans excéder 90 jours |
50% |
Classe 4 | 91 jours sans excéder 120 jours |
75% |
Classe 5 | Au-delà de 120 jours |
100% |
La maitrise du coût du risque est la marque du professionnalisme de l’établissement de microfinance.
Le coût du risque se calcule de la manière suivante :
- Les dotations aux provisions créances douteuses de l’année y compris le provisionnement des engagements hors-bilan
- La reprise des provisions de l’année antérieure (ou des années antérieures) soit pour utilisation de la provision du fait d’un passage en perte soit du fait d’un retour à meilleure fortune
- Les passages en pertes (prêts rayés)
- Les récupérations sur créances amorties
Les risques opérationnels
Les risques opérationnels sont toujours présents dans la banque : il s’agit des risques pertes du fait du non-respect des procédures, de contrôles insuffisants ou inadaptés, d’erreurs, de dysfonctionnements informatiques, de fraudes, de malveillance…ou encore de risques ayant pour origine des évènements extérieurs.
Selon le Comité de Bâle les risques opérationnels se répartissent en sept catégories :
- La fraude interne: par exemple, informations inexactes sur les positions, falsifications, vol commis par un employé et délit d’initié d’un employé opérant pour son propre compte ;
- La fraude externe : par exemple, braquage, faux en écriture et dommages dus au piratage informatique ;
- Les pratiques en matière d’emploi et de sécurité sur le lieu de travail ;
- Les pratiques commerciales, les produits, la relation clients : par exemple le blanchiment d’argent ou encore la vente de produits non autorisés ;
- Les dommages aux actifs corporels :
- Les dysfonctionnements de l’activité et des systèmes : par exemple, pannes de matériel et de logiciel informatiques, problèmes de télécommunications et pannes d’électricité ;
- Les défaillances dans l’exécution, la livraison et la gestion des processus .
La fiche de présentation de la formation « gestion des risques »
Merci de suivre le lien ci-après pour accéder à la fiche de présentation de la formation et aux dates de la prochaine session de formation à la gestion des risques en banque ou en microfinance.
gestion des risques en microfinance
Le programme du stage accorde une importance toute particulière aux cadre normatif et réglementaire de la gestion des risques.
A l’aide d’une cartographie des risques, seront présentés les risques de crédits, les risques de marché, les risques opérationnels dont le risque réglementaire, les risques découlant de la gestion, les risques liés au système informatique, les risques externes.
Les stagiaires apprendront à calculer le cout annuel du risque et à estimer le montant des provisions à constituer. Enfin, les métiers de la microfinance, requièrent aujourd’hui des compétences approfondies dans les domaines de l’analyse et de l’évaluation des risques afin de calculer une estimation du coût maximum pour chacun d’entre eux.
Le cours « formation à la gestion des risques en microfinance » est exclusivement orienté vers la pratique professionnelle, et propose de nombreux travaux dirigés pratiques et des exercices.
Si vous souhaitez en savoir plus sur la formation :
Cliquez sur le lien vers la fiche de présentation de la formation Gestion des risques en microfinance
Pourquoi la banque est-elle le métier du risque ?
Le Directeur des risques d’une banque ou le Risk manager, sont en charge de la mise en place et du pilotage du dispositif global de gestion des risques de la banque.
L’école de la microfinance dispense une formation destinée aux responsables risques des banques et des établissements de microfinance.
Lien vers la présentation du cours de gestion des risques en banque
1 Le responsable des risques est chargé d’établir la cartographie des risques de la banque
1 On désigne par RISQUE le fait d’être exposé à une perte probable
Le métier de banquier expose naturellement aux risques. Faire un prêt est très facile mais comment s’assurer qu’il sera bien remboursé par l’emprunteur ?
La banque est aussi exposée à de multiples risques à tous les niveaux de la rédaction des contrats, à la prise de garanties ou encore les risques opérationnels.
Le risque est l’élément fondamental de la banque ou de la microfinance.
2 La cartographie des risques
Le responsable des risques de l’établissement est chargé de faire une cartographie des risques et de chiffrer chacun des multiples risques.
Il recense l’intégralité des risques liés aux activités de la banque et ensuite il les hiérarchise.
3 Il est impossible de gérer le risque si on ne peut l’évaluer, le mesurer.
Le responsable des risques a pour mission de chiffrer les risques. Il commence par déterminer le coût probable du défaut représenté par un crédit non remboursé, du non-respect de la réglementation (compliance), du blanchiment d’argent sale….
Ensuite il recherche la probabilité que ce risque se réalise.
2 Savoir mesurer les risques à partir de leur impact maximum et de leur probabilité
La mesure du risque consiste alors à multiplier le coût maximal du risque par sa probabilité.
Pour mesurer le risque, la banque se réfère à ses historiques, et aux informations qu’elle possède sur les autres profils de risques similaires.
Dans une banque, la connaissance du risque par l’expérience permet de mieux la modéliser, d’établir des cotations risques. Il en va ainsi pour tous les risques auxquels une banque est exposée :
1 Le risque opérationnel.
2 Le risque de crédit.
3 Les risques de liquidité /illiquidité.
4 Le risque de non-conformité
5 Les risques opérationnels
3 Apprendre à se protéger des risques
1 La méthode de mesure du risque.
La mesure des risques dans une banque est délicate. C’est l’objet de la formation proposée par l’école de la microfinance de former des professionnels maitrisant les métiers de la banque mais aussi aptes à utiliser les statistiques, ainsi que l’évaluation des probabilités en rapport avec la prévention et les contrôles d’audit.
2 La gestion du risque
La gestion du risque consiste à tout faire pour réduire son exposition aux risques.
La gestion du risque, ou la prise de risques calculés, réduit la probabilité de réaliser des pertes et minimise le degré de la perte au cas où celle-ci arrivait.
Les établissements bancaires n’ont pas tous la même appétence pour le risque. Certains sont extrêmement prudents, d’autres acceptent – généralement moyennant des taux d’intérêts plus élevés – de prendre plus de risque.
Le rôle du Risk manager est d’analyser l’impact financier du risque et de faire une estimation des flux futurs de remboursement.
Dans tous les cas, dans une banque, le risque que l’on a préalablement mesuré a été décidé. Le risque est pris en connaissance de cause : soit on se couvre en totalité, soit on est partiellement couvert, soit la banque accepte de n’avoir aucune couverture.
La gestion des risques consiste à :
• Mettre en œuvre un dispositif de pilotage et de suivi des risques recensés
• Analyser périodiquement tous les risques et valider les procédures d’analyse, de mesure et de suivi des risques
3 L’analyse risques / bénéfices.
L’analyse RISQUES / BENEFICES fait partie des outils dont la banque doit disposer. C’est la base des argumentations face à un choix de la banque.
Le contrôle interne dans un établissement de microfinance
Les établissements de microfinance à l’instar des banques doivent établir une cartographie de leurs risques afin d’identifier tous les risques auxquels leur établissement doit fait face, d’évaluer ces risques , de les mesurer et de les maitriser.
Introduction au contrôle interne
Une Institution de Micro-Finance (IMF) reçoit des dépôts de ses clients, met en place des crédits, suit leurs remboursements, manipule des espèces. Toutes ces actions se font dans le cadre de procédures définies à l’avance. Négligences, oublis, malhonnêteté qui sont possibles comme dans toutes les actions humaines peuvent créer des situations graves comme l’octroi de prêts à des personnes qui ne pourraient pas y avoir droit, la mauvaise affectation des dépôts d’épargne, des fraudes…
Pour limiter ces risques, les IMF mettent en place un système de contrôle lequel constitue une composante essentielle de la gestion d’un établissement et un fondement incontournable pour un fonctionnement sûr et prudent de l’institution.
Pour la zone Afrique Centrale, selon les règlements CEMAC / COBAC, relatif aux conditions d’activité des établissements de microfinance, les institutions de microfinance sont tenues de se doter de la structure minimale de contrôle constituée de :une fonction audit interne, un ou deux commissaires aux comptes. Les institutions de microfinance mutualistes doivent être en outre dotées d’un organe de contrôle.
Document de référence : Règlement N°01/02/CEMAC/COBAC relatif aux conditions d’exercice et de contrôle de l’activité de microfinance dans la zone CEMAC
Suivez le lien ci-après pour accéder directement à la présentation de la formation au contrôle interne :
le contrôle interne en microfinance
Le rôle du contrôle interne est de :
– vérifier la conformité des opérations , de l’organisation et des procédures internes à la réglementation en vigueur, aux normes et usages professionnels et déontologiques et aux orientations de l’organe exécutif ;
– vérifier le respect des limites fixées en matière de prise de risques, notamment pour les crédits à la clientèle et les opérations avec d’autres établissements de crédit ;
– veiller à la qualité de l’information comptable et financière, en particulier aux conditions de conservation et de disponibilité de cette information. (source COBAC)
Le système de contrôle interne fonctionne soit en continu, c’est le contrôle permanent organisé à tous les niveaux de l’institution, soit sous la forme intermittente d’audit ou d’inspections.
Des insuffisances très fréquentes dans les dispositifs de contrôle interne
Du fait de leur origine sociale, les institution de microfinance , ont tardé à se doter de systèmes de contrôles rigoureux comparables à ceux des banques. Le contrôle est plutôt apparu consécutivement à la découverte d’erreurs ou de fraudes ou à la suite de missions de l’autorité nationale en charge du contrôle des IMF. La sécurité des activités est un défi majeur pour la croissance et la pérennité des IMF.
Pourtant c’est bien le contrôle interne qui permet de découvrir rapidement les erreurs, fraudes, retards ou laxisme… Et une erreur corrigée immédiatement coute infiniment moins chère à régulariser qu’une erreur découverte après une longue période qui oblige à une longue série de pointages et reconstitutions. Les différents dysfonctionnements auxquels font face la plupart des IMF sont détectés par le contrôle interne ou par les auditeurs. Il arrive parfois des situations où ce sont les autorités en charge du suivi des IMF qui ont pu détecter ou mettre en évidence des malversations, ce qui a quelquefois conduit à la faillite ou la mise sous administration provisoire d’importantes institutions.
De plus, dans de nombreuses IMF, le contrôle interne ne dispose pas de suffisamment de liberté pour investiguer. Dans des institutions où peuvent exister des conflits d’intérêts (par exemple dans une institution mutualiste, des prêts sont faits aux membres de l’IMF y compris aux administrateurs élus), Il n’est pas toujours clair de connaitre les limites du périmètre contrôlé. Et souvent le contrôle interne se voit refuser d’intervenir la où les risques sont les plus élevés.
A l’évidence, les systèmes de contrôle interne de la majorité des IMF sont perfectibles.
Une institution de microfinance a besoin d’un dispositif de contrôle permanent et fiable.
Le contrôle interne est un ensemble de moyens mis en place dans une entreprise et fait partie intégrante de son organisation
La direction de l’entreprise est responsable de la définition, de la mise en œuvre et de la supervision de ces moyens pour atteindre les objectifs du contrôle interne
Le contrôle interne est l’affaire de tous, et en tout premier lieu des opérationnels eux-mêmes, et ce dans tous les processus (achats et frais généraux , opérations de caisse, étude d’un dossier de crédit, recouvrement, trésorerie …..)
La sécurité des activités est un défi majeur pour la croissance et la pérennité des institutions de microfinance et de leurs agences (risques de fraudes, erreurs, retards, pertes, laxisme…).
Dans une institution de microfinance, la gestion efficace des risques consiste à analyser avec attention toutes les expositions aux risques et à rechercher les moyens pour les réduire.
On note 3 niveaux complémentaires de contrôle :
- L’auto contrôle du titulaire du poste
- Le contrôle interne
- Le contrôle externe
1 L’auto contrôle du titulaire du poste
Le premier contrôle reste bien de s’assurer de l’auto contrôle du titulaire du poste qui doit vérifier ses propres opérations, faire ses ajustements périodiques, ne clôturer une caisse qu’une fois qu’il s’est assuré qu’il n’y avait pas d’erreurs.
2 Le contrôle interne : le contrôle de premier niveau par le hiérarchique
Le contrôle de premier niveau est effectué par le hiérarchique de l’agent.
Cela fait partie intégrante de la responsabilité du hiérarchique de s’assurer de la qualité du travail de son subordonné.
3 Le contrôle interne : le contrôle par le contrôleur interne
Le contrôle de second niveau est un dispositif de l’institution de microfinance, défini et mis en œuvre sous la responsabilité de la direction générale , qui contribue à la prévention des risques
Il est effectué par un contrôleur interne indépendant du hiérarchique
Les contrôles en agence porteront prioritairement sur :
- La qualité des contrôles de premier niveau
- Le contrôle de conformité des ouvertures de comptes
- La qualité des dossiers de demande de crédit
- La vérification des existants (caisse, caisse GAB, cartes, chèques…)
- La maitrise des opérations suspectes au sens du blanchiment et de la lutte contre l’argent du terrorisme.
- La sécurité de l’archivage quotidien
- La sécurité des accès et la surveillance des locaux