Comment diriger, administrer, contrôler un établissement de microfinance ?

Formation de dirigeants en microfinance à DOUALA

Comment diriger, administrer, contrôler un établissement de microfinance ?

 

On attend d’une institution de microfinance qu’elle apporte sa contribution à la croissance locale, qu’elle soutienne la pérennité des micro-entreprises dont elle a favorisée la création.

 

Les risques de gouvernance

Le risque inhérent à la gouvernance existe  lorsque les administrateurs, le président du CA  désigné parmi les personnes physiques du dit conseil ne possèdent pas toutes les compétences nécessaires pour diriger, administrer et assurer la surveillance adéquate de leur entreprise.

Comment se prennent les décisions ? Les comptes rendus des réunions du CA sont-ils établis ?

Qui  organise, dirige et contrôle les activités ?

La question se pose également chez les mutualistes : Les élus sont-ils suffisamment qualifiés, les directeurs d’une organisation à but non lucratif n’ont pas toujours l’expérience nécessaire pour gérer une institution financière.

 

On attend d’une institution de microfinance qu’elle apporte sa contribution à la croissance locale, qu’elle soutienne la pérennité des micro-entreprises dont elle a favorisée la création.

 

Retrouvez la fiche de présentation de la formation à la gouvernance d’une institution de microfinance en cliquant sur le lien ci-après :

http://www.ecole-de-la-microfinance.com/formations-en-banque-et-en-microfinance/gouvernance-et-strategies-des-institutions-de-microfinance/

 

1 Formation a la gouvernance des institutions de microfinance.

 

Dans une institution de microfinance qui a le pouvoir de décision ? Et comment s’exerce ce pouvoir de décision ?

 

La formation à la gouvernance des institutions de microfinance s’adresse aux dirigeants, aux présidents et membres des conseils d’administration de des institutions ainsi qu’aux bailleurs de fonds.

 

http://www.ecole-de-la-microfinance.com/formations-en-banque-et-en-microfinance/gouvernance-et-strategies-des-institutions-de-microfinance/

Le concept de gouvernance dans une SA de microfinance

Dans les sociétés anonymes de microfinance, on peut dégager des principes de gouvernance dont les objectifs sont de :

  • protéger les intérêts des bailleurs de fonds et actionnaires
  • assurer une prise de risque judicieuse adaptée à la mission
  • vérifier l’intégrité et l’éthique des administrateurs, des dirigeants et des employés de la Banque
  • détecter et éviter les conflits d’intérêts
  • S’assurer de l’indépendance et de la compétence des administrateurs

 

Vision et mission :

Un  établissement de microfinance  communique une vision qui permet à tous tant en interne qu’en externe de se positionner,

La vision permet de définir la stratégie et les rôles que chacun aura pour atteindre les objectifs fixés.

Un établissement de microfinance a pour mission d’apporter des services financiers aux particuliers et aux entreprises du secteur formel ou informel n’ayant pas accès aux  établissements financiers classiques.

Pour  permettre à une personne pauvre et souvent sans instruction de générer son propre emploi, l’IMF peut devoir s’occuper de sa formation, de favoriser son installation, éventuellement de l’introduire dans un groupe solidaire….

La mission des IMF est sociale : elle vise à répondre aux besoins de financiers de populations pauvres qui ne peuvent accéder aux banques et établissements financiers classiques.

Et on attend aussi que l’IMF soit bien géré et surtout qu’elle soit pérenne sur le long terme.

Comment parvenir à l’équilibre de ces deux forces qui peuvent sembler si opposées au profit d’une cohérence d’ensemble ?

 

2 Champ d’application de la gouvernance dans une institution de microfinance

Ainsi définie on voit comme la notion de gouvernance trouve à s’appliquer dans une IMF.

De part sa situation très particulière d’institution pour les pauvres, L’IMF est confrontée à de nombreux défis pour protéger ses actifs et en particulier son fonds de crédit. L’IMF a en effet prioritairement une vocation sociale mais ne peut atteindre ses objectifs humanitaires à long terme qu’en parvenant à être compétitive, et en optimisant ses frais de fonctionnement.

La gouvernance a vocation à s’assurer du respect du projet de l’IMF et de ses orientations stratégiques. La gouvernance de l’IMF analyse chaque décision par rapport aux deux missions contradictoires sociale et financière de l’IMF. Il s’agit d’une veille permanente sur l’équilibre des décisions aux différents niveaux de responsabilité.

Pour légitimer son action, L’IMF doit contrôler qu’à tout moment elle reste en phase avec son objectif social.

 

 3 Le comité de gouvernance

Le comité de gouvernance d’un établissement de microfinance est constitué   de membres qualifiés et impliqués ayant des compétences dans les domaines de l’action sociale, de la comptabilité et de l’audit.

Les membres du comité ont une grande connaissance des missions et des objectifs de l’IMF. Ils en connaissent les points forts et les points faibles. Ils peuvent poser toutes les questions à la direction

Les  principales  fonctions  du Comité  de la  gouvernance  sont  les  suivantes :

  • Rechercher et recommander des  candidats  au conseil d’administration
  • Mettre en place un processus d’évaluation de l’efficacité du conseil, du comité et des administrateurs;
  • Définir les principes de la gouvernance de l’établissement;
  • Superviser les  questions  relatives  à  la  mission et aux valeurs de l’entreprise;
  • Écouter et étudier les propositions des actionnaires et recommander au conseil les réponses à donner à ces propositions.
    .

4 Les conditions de mise en œuvre d’une bonne gouvernance

Quand elle existe, la qualité de la gouvernance est le facteur clé de la performance de l’IMF. Elle concile la liberté d’action des managers avec la nécessité d’une régulation. Cette dualité d’objectifs souvent contradictoires rend nécessaire la mise en œuvre d’une stratégie dynamique et d’une bonne gouvernance.

La difficulté majeure consiste à trouver le juste équilibre entre la direction opérationnelle de l’IMF (qui a un rôle de gestionnaire) et les fonctions du comité de gouvernance (un organe de surveillance). Il est donc nécessaire d’avoir des règles de fonctionnement qui permettent d’atteindre un consensus .Le comité de gouvernance perd sa raison d’être dans le cas où la direction assure la domination du comité.
Le préalable pour la mise en place de la gouvernance consiste à déterminer clairement les rôles et les responsabilités des différents acteurs de l’IMF et à faire le diagnostic de l’impact des décisions de chacun par rapport aux défis à relever.

L’expérience montre qu’il ne saurait y avoir une quelconque gouvernance autrement que par l’application coordonnée de deux stratégies fondamentales :
• une stratégie fondée sur les valeurs : renforcement de l’intégrité institutionnelle par la promotion de pratiques morales et éthiques.
• une stratégie fondée sur les disciplines: gestion budgétaire, réclamation des remboursements aux emprunteurs, rigueur au niveau des frais de fonctionnement.
En traitant de gouvernance d’une IMF, on touche directement à l’organisation des conditions d’exploitation d’un métier financier, à la recherche de se maintenir à long terme, aux relations avec les exigences des bailleurs de fonds et bien sûr aux besoins et difficultés de la clientèle.

La gouvernance doit rapprocher la recherche de performances sociales tout en défendant en permanence une discipline financière à long terme.

 

5 Pistes pour une gouvernance efficiente

 

L’objectif d’une gouvernance efficiente est de chercher à améliorer l’efficacité de l’IMF en se donnant les moyens, au travers de l’implication de tous les acteurs recensés :

– de protéger la valeur du portefeuille des crédits et d’empêcher par tous les moyens son érosion,
– de promouvoir l’objectif social de l’IMF en cherchant à créer par le micro crédit, par la formation, par l’accompagnement des autos-emplois de qualité pour l’ensemble des clients.
– de ne pas transiger sur l’objectif d’atteindre chaque année le seuil de rentabilité.
– de contribuer à créer un contexte favorable au développement local et régional.

On peut lister quelques bonnes pratiques de gouvernance pour une IMF :

  1. Disposer d’un comité de gouvernance
  2. Organiser des délégations de pouvoirs par des chartes connues de tous.
  3. Formaliser les relations entre les organes par des conventions
  4. Organiser le positionnement des membres, le élus ou membres du Conseil d’administration, les comités la direction de l’IMF, les salariés
  5. S’assurer du fonctionnement efficace du conseil d’administration et des comités (crédit, contrôle)
  6. Étudier systématiquement toutes les catégories de risques afin d’effectuer les couvertures nécessaires et surtout de les atténuer
  7. Instaurer des règles précises pour la communication interne et externe de l’IMF

L’école de la microfinance organise des formations à la gouvernance des établissements de microfinance pour les administrateurs et pour les dirigeants de ces institutions.

 


 

L’école de la microfinance organise des formations à la gouvernance des établissements de microfinance pour les administrateurs et pour les dirigeants de ces institutions.

Pour tous renseignements : ecole.de.la.microfinance@gmail.com

 

L’analyse financière d’un Établissement de MICROFINANCE

Comme toutes les entreprises, les   établissements de microfinance font l’objet d’évaluations de leurs performances et de leurs solvabilités.

 

Accès direct à la fiche de présentation de la formation à l’analyse financière ainsi que les dates des formations en suivant le lien ci-après :

http://www.ecole-de-la-microfinance.com/formations-en-banque-et-en-microfinance/analyse-financiere-dune-institution-de-microfinance/

 

Il existe de multiples raisons de procéder à l’analyse financière d’un établissement de microfinance :

1 Les administrateurs ou la direction générale souhaitent s’assurer de la rentabilité et de la solvabilité de leur entreprise

2 Pour limiter le risque, le banquier ou le fonds de garantie veut vérifier avant de faire un prêt à une microfinance la rentabilité de l’établissement et les éventuelles difficultés économiques.

3 Les déposants veulent s’assurer qu’ils peuvent laisser sans risque leur argent dans la microfinance

4 Un repreneur s’intéresse au niveau d’activité de l’établissement de microfinance avant de lancer son opération.

5 Un concurrent souhaite identifier les fragilités de l’établissement, sa place dans le secteur et la stratégie suivie.

6 Les futurs actionnaires veulent vérifier la performance et le potentiel de l’entreprise

7 Les salariés veulent s’assurer des perspectives économiques de leur entreprise.

 

 

Les objectifs de la formation

Apporter les notions financières nécessaires à la compréhension de la structure financière d’un établissement de microfinance.

Apprendre a examiner les états financiers annuels

Savoir utiliser une grille d’analyse de la situation financière de l’établissement de microfinance.

Mettre en évidence les éléments de pérennité de l’institution, sa solvabilité, ses équilibres financiers

 

Durée de la formation

La formation à une durée de 5 jours soit 35 heures

 

Modalités de la formation

La formation à l’analyse financière se fait par l’étude de plusieurs bilans et comptes de résultat d’établissement de microfinance.

La grille d’analyse est complétée au fur et à mesure pour chaque institution étudiée.

 

Programme

Analyser la structure financière et apprécier l’équilibre financier

  • Passer du bilan comptable de l’établissement de microfinance (SFD / EMF) au bilan financier en grandes masses
  • Intégrer les informations hors bilan
  • Les ratios de structure, d’endettement, de liquidité, de rotation
  • Identifier l’impact des subventions des bailleurs de fonds

 

Évaluer l’activité et le niveau des marges

  • Déterminer les Soldes Intermédiaires de Gestion (SIG)
  • Apprendre à calculer les ratios d’activité, de productivité, de marge et de rentabilité
  • Comprendre ce qui fait la qualité du portefeuille, les risques découlant des impayés
  • Calculer la marge réelle d’intermédiation
  • Le calcul du coût du risque et du portefeuille à risques (PAR)
  • Identifier les éléments essentiels pour la pérennité financière de l’établissement de microfinance

 

Interpréter les ratios clés en fonction des normes de référence du secteur et des ratios prudentiels

  • Comprendre où se situe l’établissement de microfinance en  tenant compte des normes   professionnelles à respecter
  • Comprendre les ratios prudentiels
  • Savoir diagnostiquer une situation de crise financière
  • Situer un établissement de microfinance par rapport à la concurrence.

 

Public concerné

  • Cadres des organes de réglementation et de contrôles
  • Auditeurs internes et externes
  • Bailleurs de fonds, fonds de garantie et banques
  • Administrateurs et élus d’un établissement de microfinance
  • Directeur général d’un établissement de microfinance
  • Responsable Administratif et Financier d’un établissement de microfinance
  • Contrôleur de gestion
  • Analystes financiers
  • Toute personne souhaitant apprécier la situation financière d’un établissement financier (établissement de microfinance ou banque)

 

Prérequis

  • Connaître la comptabilité des établissements financiers ( établissement de microfinance ou  banque)
  • Savoir lire et Comprendre un Bilan et un Compte de résultat

 

LA GESTION DU PORTEFEUILLE CRÉDIT D’UNE IMF

Le portefeuille de crédit d’une banque ou d’un établissement de microfinance est composé de l’ensemble des dossiers crédit de la clientèle :les comptes courants débiteurs avec ou sans autorisation, les créances commerciales, les autres crédits court terme, les crédits d’équipement, les engagements à long terme.

Ce que craignent le plus les banques et les établissements de microfinance c’est bien sur le non remboursement de leurs crédits par la clientèle.

La gestion du portefeuille crédit dans une microfinance consiste à :

  • A suivre au jour le jour les positions débitrices de la clientèle
  • A contacter immédiatement les clients en cas d’incidents
  • A enregistrer les risques consécutifs aux incidents clients
  • A envisager des réaménagements de l’échéancier des remboursements
  • A effectuer une cotation risque des clients en fonction des incidents mais aussi de la situation économique globale ou des difficultés liées à un secteur professionnel.
  • A déclasser en CDL – contentieux, douteux, litigieux, les créances compromises
  • A mettre en place les provisions pour dépréciations des créances qui sont nécessaires.

Nous indiquons ci-dessous les thèmes développés pendant  les journées de formation aux fondamentaux de la microfinance :

 

Le processus de mise en place des crédits – L’examen du projet présenté par le demandeur.

L’agent de crédit opère une sélection et prend la décision de refuser les projets incohérents, non rentables pour l’emprunteur ou inadaptés.

La constitution de la demande de crédit ne se fait que pour un   projet viable et générateur de revenus pérennes

 

Le lien ci-après donne accès à la présentation de la formation aux fondamentaux de la microfinance :

Les fondamentaux de la microfinance

 

L’analyse du risque

L’élément déterminant pour une saine gestion du portefeuille consiste à accorder des  prêts aux personnes ou aux entités qui présentent les capacités de remboursement nécessaires, et les refuser aux autres.
L’étude attentive du risque de crédit  par l’IMF est  fondamentale. Compte tenu des caractéristiques spécifiques du public, l’analyse du risque est constituée essentiellement par une évaluation informelle des emprunteurs.
L’agent de crédit doit concevoir avec l’emprunteur un budget familial. Il est essentiel que le « reste à vivre » permette d’intégrer chaque semaine la charge de  remboursement du microcrédit.
La décision d’octroi du prêt est prise par le Comité des Crédits.

 

Le suivi du portefeuille crédit

La gestion de portefeuille consiste essentiellement dans le  suivi des clients sains et en retard après décaissement du prêt.
Pour se donner des chances de recouvrement, la détection des retards dans le remboursement doit être immédiate.
Les créances défectueuses (CDL contentieux, douteux et litigieux) font l’objet de déclassements. L’IMF doit savoir calculer les indicateurs de portefeuille à risque (PAR 30 et PAR 90).
L’IMF calcule périodiquement son « coût du risque. »

 

La problématique du remboursement des crédits et le recouvrement

Une fois le retard détecté, l’IMF met en œuvre un programme de recouvrement.
La rapidité de la réaction par l’IMF est de loin l’élément le plus déterminant pour le recouvrement d’un prêt.
Les sanctions en cas de retard prévues sur les contrats de prêts doivent être appliquées de façon systématique.
L’IMF ayant une vocation sociale, l’agent de recouvrement n’hésitera pas  à se montrer imaginatif dans les solutions pour trouver des solutions conciliantes  envers les emprunteurs qui ne peuvent pas rembourser de bonne foi.
Les procédures de recouvrement par voie judiciaire ne sont généralement pas adaptées pour obtenir le remboursement par les emprunteurs.

 

La performance de l’IMF sociale et financière de l’IMF

Conférence : Le microcrédit un outil pour le développement local

La mission sociale d’une IMF consiste à proposer  des services financiers à la portée de personnes pauvres.
Pour autant une IMF à un métier financier lequel exige la plus grande rigueur de gestion.
Pour concilier au mieux ces deux missions, l’IMF doit dispose de critères rigoureux de sélection des projets qu’elle est disposée à  financer permettant ainsi la création de micros  entreprises et la création d’emploi.
L’intérêt bien compris d’une IMF est de mettre en place sur son segment de clientèle des procédures de sélection de prêts très rigoureuses afin d’avoir une forte probabilité que les prêts soient remboursés dans les conditions convenus.

 

 

 

GESTION DES RESSOURCES HUMAINES EN BANQUE

Une formation au management spécifique pour des responsables d’unités des établissements bancaires – services du siège, directions régionales ou agences bancaires.

 

Mais comment former des managers ?

 

 Vous souhaitez sélectionner un manager pour diriger une équipe ?

 Ce n’est parce qu’il est le plus qualifié de l’équipe qu’il fera un bon manager.

Le management est nouveau métier qu’il faudra que le futur manager apprenne. il lui faudra acquérir   les techniques, une rigueur, les méthodes et de nouvelles compétences pour diriger efficacement son équipe.

Bien sur on peut penser qu’avec l’expérience le manager finira par obtenir  des résultats. Peut-être mais dans ce cas au bout de combien de temps, ou peut-être ce ne sera jamais le cas. Les qualités de manager ne sont pas des qualités innées. Elles s’acquièrent par l’expérience et par la formation.

Mieux vaut commencer par bien faire comprendre au futur manager  comment il devra organiser le travail de son équipe, comment ll pourra obtenir davantage  d’engagement de la part de ses collaborateurs, comment souder son équipe pour des objectifs professionnels partagés.

Et les réunions ? Comment faire pour qu’elles ne soient pas vécues comme une perte de temps, qu’elles deviennent un lieu d’échange en un temps raisonnable, comment expliquer les objectifs retenus  par la direction ?

 

Mais en quoi consiste ce métier de manager ?

Le manager est l’intermédiaire entre la direction et les membres de son équipe. Il fait passer les messages de son établissement, il organise le travail. Il fait respecter les objectifs et les plannings de l’équipe.

Le travail du manager s’inspire toujours des principes d’administration de Henri Fayol,

 

  • Prévoir : En fonction des objectifs, des volumes à traiter, le manager fait des fiches d’actions, des plannings, s’occupe des approvisionnements nécessaires….demande de personnel supplémentaire pour des périodes tendues.…Le manager anticipe l’activité pour éviter les crises, module, s’adapte aux périodes même les plus critiques (coronavirus par exemple), anticipe  les évolutions de chacun, les risques et les évolutions à venir.
  • Organiser  : tout doit être en place pour le travail à accomplir, locaux, outils, matériel…le matériel et les équipements sont en bon état, l’effectif bien formé pour accomplir les tâches. Les documentations procédures et instructions  nécessaires sont disponibles et accessibles à tous.
  • Commander   : le manager commande, c’est lui le patron. Pour cela il a une certaine marge de décisions qu’il doit prendre pour que l’équipe fonctionne au mieux. Le manager s’affirme sereinement dans ses relations avec son équipe.Le manager est un notateur lors des entretiens annuels. Animer l’équipe avec intelligence et de façon motivante.
  • Coordonner   : l’équipe doit être coordonnée, chacun connaissant la tâche qu’il doit accomplir. Le manager délègue des activités  aux bonnes personnes, en fonction de leurs compétences, sensibilités et aspirations. Savoir répartir les tâches pour les cas d’absences, organiser les congés.
  • Contrôler  : Le manager est le responsable. C’est vers lui qu’on se tournera en cas de dysfonctionnement. A ce titre il doit bien organiser son contrôle hiérarchique des travaux effectués. Le manager réalise les reportings.

 

Objectifs de la formation en management

 Le   manager a besoin de savoir donner un sens au travail et aux actions. C’est la clé de sa réussite, la clé de la motivation de l’équipe.

Dans l’entreprise, on attend du manager qu’il anime et motive son équipe.

On attend aussi qu’il sache adapter son management aux personnes avec lesquelles il doit travailler.

On attend aussi qu’il s’appuie   sur ses compétences personnelles  et développe des talents de manager à bon escient

Qu’il identifie et mobilise les ressources utiles à sa mission de management

Qu’il renforce sa position de manager grâce à un bon repérage   de ses nouvelles responsabilités.

Qu’il sache faire évoluer son équipe dans un univers qui bouge.

 

Public concerné

Chargé(e) de ressources humaines

Personnes récemment promues managers ou qui vont prochainement exercer une fonction managériale, et souhaitant maîtriser cette transition et consolider leur nouvelle position en s’appuyant sur une démarche méthodique et instrumentée.

 

Prérequis

Réponses à un questionnaire de préparation à la formation Manager.

 

Pédagogie

Pédagogie active de découverte au travers de jeux de rôles et d’exercices modélisant des situations de management.

Analyse des qualités des managers et des principaux écueils.

Jeux de rôles pour la partie « Mener efficacement ses entretiens annuels »

 

 

 

L’école de la microfinance propose une formation à la gestion des ressources humaines pour :

  • Situer le rôle des Ressources Humaines pour le développement des compétences des managers de l’entreprise
  • Situer les besoins d’accompagnement des managers pour  la gestion des femmes et des hommes de leurs équipes
  • Situer l’articulation entre le rôle d’accompagnement de la RH et le role des directions opérationnelles.
  • Connaître les attentes par rapport à la fonction RH pour le fonctionnement des organisations.
  • Maitriser l’articulation de la RH avec les autres directions de l’entreprise.

Les ressources humaines dans les établissements de microfinance

 

> Taille du groupe: 8 à 12 personnes
 

Durée 5 jours
 
Contact direct pour cette formation :

Michel HAMON formateur à l’école de la microfinance

E-mail : hamonmi@free.fr- Mobile : +33 (0)6 52 59 32 37

 
   

L’ECOLE DE LA BANQUE A NANTES

 

BQ 624 – Banque: formation des Chargés de clientèle entreprises

En présentiel seulement

Objectifs pédagogiques A l’issue de la formation, le stagiaire sera capable de :

  • Établir un  partenariat avec l’entreprise
  • Accompagner les chefs d’entreprises ou futurs chefs d’entreprises à développer et structurer leurs entreprises
  • Apporter des réponses par rapport au financement de l’entreprise et à la gestion de la trésorerie
  • Apporter les éléments de gestion indispensables pour maitriser le développement
  • Proposer une analyse du projet d’une entreprise, notamment en ce qui concerne l’analyse de sa gestion et de son environnement (financement, marché, clientèle, etc.)

MAJ le 10/11/2021

Programme 1.       Un partenariat banque / entrepreneur dans la durée

2.       Le financement  de l’entreprise lors de la création et dans les phases de développement

3.       L’aide à la construction du  business plan

4.       La banque établit un diagnostic  sur les facteurs de succès de l’entreprise

5.       Les moyens d’encaissement et de paiement qui sont proposés à l’entreprise

6.       Les solutions proposées par la banque pour optimiser la trésorerie

7.       Les outils de gestion indispensables pour piloter la jeune entreprise

8.       A l’international, l’accompagnement des banques pour les  règlements import et export

9.       Les indicateurs de performance

10.   Aider le chef d’entreprise à concevoir un tableau de bord

 

Publics concernés Chargés de clientèle entreprise en banque

Conseillers de clientèle professionnels

Chefs d’entreprises

Créateurs d’entreprises

Comptables d’entreprises

Avocats, juristes, experts-comptables

 

Durée en présentiel : 35 heures sur 5 jours

 

Méthodes et outils : Apports méthodologiques, Etudes de cas, mises en situation.

 

Validation : Examen final : certificat de l’école de la microfinance si note supérieure à 10/20 ou attestation de formation

 

Tarif : Frais de formation : 1600 €

 

Pré requis : Il est recommandé d’avoir en préalable de bonnes connaissances en  gestion et finance.

 

Dates et lieux du présentiel : NANTES – dates disponibles sur le catalogue :

http://www.ecole-de-la-microfinance.com/programmes-formations-en-microfinance/

Pour toute autre date nous consulter

Organisation de séminaire envisageable dans d’autres villes et/ou pays pour la formation d’un groupe à partir de 5 participants

 

Contacts : M. Michel Hamon – Responsable Formation
Tél. : + 33 6 52 59 32 37Email : ecole.de.la.microfinance@gmail.com

La banque a pour mission d’accompagner les entreprises  pour faire aboutir un projet, pour l’octroi de crédit, pour disposer de moyens de paiement.

Le Conseiller bancaire entreprises est le professionnel qui tisse le partenariat entre la banque et l’entreprise.

C’est le conseiller clientèle entreprise  qui conseille l’entreprise pour tout ce qui concerne le financement des investissements et le développement.

Pour exercer le métier de conseiller bancaire entreprise, il faut avoir une compréhension fine des activités des entreprises, avoir une relation de confiance avec le chef d’entreprise mais   aussi savoir sécuriser les risques dans un environnement changeant et porteur d’incertitudes.

L'école de la microfinance est datadockée

Revenir en haut de page

Vous aimez notre article, n'hésitez pas à le partager :